7 juin 2023
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Si il y a bien un avion dont la silhouette est associée au débarquement en Normandie c'est le Douglas DC 3 - C47 Skytrain.
Version plus rapide et agrandie du DC 2 avec un fuselage plus long et plus large, une envergure accrue, des moteurs plus puissants (850 ch en croisière) pour un poids plus élevé, une plus grande autonomie et autorisé aux vols de nuit, le DC 3 fut conçu comme avion de transport de voyageurs pour American Airlines. Il effectua son premier vol en 1935 et a ensuite été utilisé dès le début de la seconde guerre mondiale en version transport de troupes et parachutistes par les militaires.
Dénommé C 47 Skytrain et C 53 Skytrooper par les américains on retiendra le surnom de DAKOTA que lui ont donné les anglais mais surtout "Gooney Bird" par ses équipages.
Ce sont des Douglas DC 3 qui ont été utilisés pour larguer des parachutistes dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, la nuit précédent le débarquement, afin de détruire la batterie de canons de Merville-Franceville à l'est de Caen en Normandie. C'est pour cela qu'aujourd'hui un exemplaire y est exposé.
Cet avion de transport civil est celui qui a été le plus produit au monde. Robuste et économique il fut aussi construit pendant le conflit par la Russie puis par le Japon après la guerre. De nombreux exemplaires volent encore actuellement comme on peut le constater sur les photos prises il y a peu de temps au meeting de la Ferté-Alais.
7 juin 2023
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Quelques magnifiques photos et vidéos des avions qui ont marqué le débarquement en juin 1944
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22 septembre 2021
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Visite des réserves du musée à l'occasion des journées du patrimoine.
Des avions de tous les types en attente de restauration avant exposition au public.
Le musée ne sera jamais assez grand pour les présenter tous une fois restaurés !
9 juin 2021
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la seconde guerre mondiale dans le ciel.
25 février 2021
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Prenez place à bord du Mirage III C n°21 du CEV (propriété du Musée de l'Air et de l'Espace en exposition au musée SAFRAN à Réau - 77)
Cet avion a effectué son premier vol en juillet 1961 et a été retiré du service en mai 1988 après une longue carrière opérationnelle dans différentes escadrilles puis au CEV de Brétigny.
Pas de glass cockpit à cette époque, pas de commandes de vol éléctriques, pas d'intelligence artificielle et comme principal ordinateur de bord: le cerveau du pilote. Le tableau de bord garde tout son charme, il a fait rêver plusieurs générations de pilotes.
Le Mitage III a été étudié dès la fin 1955 et construit dans le cadre d’un programme d’intercepteurs légers défini par l’armée de l’Air française. C'est un chasseur-bombardier monoréacteur qui associe une voilure delta à un fuselage dessiné suivant la "loi des aires" qui lui donne une "taille de guêpe".
Le 9 mai 1957, le secrétariat d’Etat aux Forces armées Air commande 10 avions Mirage III A, d’avant-série. L’armée de l’Air ne disposant pas des ressources financières pour programmer un avion pour chacune de ses missions, le Mirage sera donc fabriqué en série, monovalent sur le plan industriel et polyvalent sur le plan militaire.
Le 12 mai 1958, à Melun-Villaroche, le Mirage III A 01 "Honoré" effectue son premier vol piloté par Roland Glavany. L’Etat passe alors une commande pour 100 Mirage III, il en recevra 95, les 5 autres étant gardés par Dassault pour des essais et modifications pour les séries à venir. La vitesse de Mach 2, véritable performance à la fin des années 50, est atteinte, pour la première fois en Europe occidentale, par Roland Glavany sur le Mirage III A 01.
À l'exception de quelques équipements ou accessoires secondaires, l'avion est un produit national. Les Français sont désormais, non seulement capables de produire des cellules ultramodernes, mais encore de fournir des réacteurs de classe internationale, et toutes les variétés d'armement ou de matériels électroniques.
Le réacteur Atar 9 est fourni par la SNECMA tandis que la SEPR procure le moteur-fusée SEPR 841 d’appoint, utilisable pour les missions d’interception. De nombreuses firmes fournissent les autres équipements: CSF (radar d’interception), Messier (trains d’atterrissage), Intertechnique, SAMM, SFIM, Sauvion.
21 février 2021
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- Cliquez sur les photos pour les agrandir -
Depuis six ans, Bernard Decré s’emploie à confirmer une thèse qui semble tout à fait crédible : les deux aviateurs Nungesser et Coli auraient franchi l’Atlantique en mai 1927, quelques jours avant la première traversée en solitaire de Charles Lindbergh. Pour cela, il lui faut retrouver les débris de leur avion, « l’Oiseau blanc ». Le groupe Safran soutient ce projet.
Textes qui accompagnent la maquette exposée au mmusée Safran
Les deux aviateurs français, Charles Nungesser et son copilote François Coli, avaient décollé du Bourget au petit matin du 8 mai 1927, c'est-à-dire deux semaines avant la traversée sans escale réussie de Lindbergh, pour tenter de rejoindre New York. Nungesser et Coli n'étant jamais arrivés à destination, et aucune trace de leur avion n'ayant été retrouvée, cette tentative a toujours été considérée comme un échec.
Photos de la grande maquette exposée au musée de l'aéronautique et spatial Safran.
Deux hommes, le publicitaire Marcel Bleustein-Blanchet et le journaliste Marcel Julian, ont été les premiers à envisager une autre thèse : « l'Oiseau Blanc » – nom de l'avion de Nungesser et Coli – aurait bel et bien traversé l'Atlantique, mais aurait disparu en mer avant d'atteindre New-York.
Des indices concordants.
Créateur du Tour de France à la Voile et féru d'aviation, Bernard Decré s'est pris d'une véritable passion pour élucider ce mystère. Depuis six ans, il réalise une enquête très fouillée. « J'ai déjà recueilli une trentaine d'indices concordants qui laissent penser que l'Oiseau blanc aurait bien traversé l'Atlantique, indique-t-il.
À commencer par le témoignage du pêcheur Pierre-Marie le Chevalier, qui naviguait dans la zone le matin du 9 mai 1927 et a raconté avoir perçu très clairement le bruit d'un avion et d'un crash suivis de cris.
Autre pièce à conviction : un télégramme des garde-côtes américains, daté du 18 août 1927, dans lequel ils déclarent à leur hiérarchie que deux ailes reliées ont été retrouvées à 300 km de New York et à 800 km de Saint-Pierre-et-Miquelon, émettant clairement l'hypothèse que ces ailes pourraient être celles de l'aéronef français !
A la recherche du moteur perdu.
Mais pour prouver de façon irréfutable que les deux pilotes français ont effectivement franchi l'Atlantique, il faut des preuves matérielles, c'est-à-dire retrouver un morceau de l'épave. En l'occurrence, le moteur, seule pièce capable de résister à une si longue immersion. Il s'agit d'un Lorraine–Dietrich, entreprise reprise en 1941 par la Société des moteurs Gnome et Rhône. Nationalisée en 1945, celle-ci formera la Société Nationale d'Etude et de Construction de Moteurs d'Aviation (Snecma) qui deviendra en 2005 le groupe Safran.
Une campagne cruciale.
Le périmètre dans lequel se trouvait Pierre-Marie Le Chevalier le matin du 9 mai a déjà été exploré à trois reprises sans résultat, mais les recherches vont reprendre au printemps prochain pour une campagne de trois semaines, au large de Saint-Pierre-et-Miquelon. « Notre vocation est de préparer l'avenir plutôt que de participer à la recherche du passé, mais on ne peut être sûr de son avenir que si l'on est fier de son histoire, », rappelle Jean-Paul Herteman, président-directeur général de Safran, revenant sur les raisons du soutien de Safran à ce projet. « En plus de son appui financier, nous essayons de voir dans quelle mesure le savoir-faire technologique de Safran pourrait aussi contribuer à retrouver le moteur de l'Oiseau Blanc », précise Bernard Decré.
Texte: Groupe Safran
20 février 2021
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Le robot-rover Persévérance posé sur la planète le 18 février dernier nous fait parvenir ses premières photos. Impressionnant!
1 juin 2020
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Heureusement, certains nous font encore rêver.
20 mai 2020
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16:11
Le 21 mai 1927 à 22h30 et après 33h30 de vol, un petit avion monomoteur Ryan, le Spirit of Saint-Louis, se posait à l'aéroport du Bourget en France. A son bord: Charles Lindbergh. Le jeune pilote venait de réussir la première traversée, Ouest-Est, de l'Océan Atlantique en vol sans escale et en solitaire. C'était le début des vols transatlantiques. Charles reçut alors 25 000 dollars pour la réussite de cet exploit, une somme énorme pour l'époque.
14 juillet 2019
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La Patrouille de France, comme chaque année, ouvre le défilé du 14 juillet sur les champs Elysées à Paris.